Cuckold fantasme

Catégories : FETICHISMES au pluriel
il y a 8 ans

Nous arrivons dans la chambre d'hôtel une heure avant lui. Je me douche puis c'est au tour de Elle pendant que je prépare le champagne. Nous buvons une première coupe.

  • Tu es sur de ce que tu veux.
  • Oui mon Amour. j'ai très envie de ce jeu.
  • Alors ressert moi un verre. Après 3 coupes, elle se détend et regarde l'heure. Sa voix a déjà changée.
  • C'est l'heure. Déshabille toi. J'ôte mon peignoir et me lève. Elle m'attache les poignets à l'avant, l'un avec l'autre avec des bracelets en cuir, fait de même avec mes chevilles mais en utilisant une barre d'écartement. Elle me met un bâillon, des pinces à tétons et un collier en cuir. Enfin, elle emprisonne mes testicules dans un parachute relié à une laisse. Elle se recule. Admire son œuvre. Tu es mignon comme ça. Ta soirée va être chaude mon lapin... Elle dépose sur la table basse quelques accessoires : lubrifiant, plug anal, martinets, Elle met ses bas et porte jarretelles, ses chaussures à hauts talons et va se maquiller. Elle revient, consulte l'heure, me regarde. Elle est belle, très maquillée, s'approche, mets sa bouche près de mon oreille, promène un doigt dans mon dos et susurre : "tu es près, mon cocu ?". Ces mots me font l'effet d'un électrochoc, j'acquièse. Elle s'assied sur le lit, me fixe en souriant légèrement. Soudain, on frappe à la porte. Je sursaute. Elle se lève, passe devant moi en laissant négligemment traîner sa main sur mes fesses et va ouvrir. Il entre, l'embrasse.
  • Bonjour ma Chérie, ça va ?
  • Bien entre ! Elle referme la porte. Il se place devant moi.
  • Ah notre cocu soumis est prêt. C'est bien. Tourne devant nous ! Je tourne sur moi même plusieurs fois. La barre d'écartement ne me facilite par la tâche. À chaque tour je prends 2 claques sur les fesses. Je suppose que c'est une chacun. Ils rient.
  • On va te faire vraiment cocu mon garçon. Hein ma Chérie ?
  • Ça c'est sûr : tu vas en avoir pour ton argent ! Il s'assied, prend la laisse et ordonne :
  • Recule ! Je tire en arrière pendant qu'il retient la laisse accrochée à mes testicules.
  • Plus fort ! Je tire encore. Mes testicules sont tendues, je gémis.
  • C'est bien : allez, sers nous une coupe ! Entravé, ce n'est pas facile mais je réussis à leur servir du Champagne. Ils boivent un verre en parlant de tout et de rien. J'attends debout devant eux. Ils commencent à se toucher, à s'embrasser. Je me déplace pour mieux voir et mon geste ne passe pas inaperçu.
  • Dis donc toi qu'est ce que tu fais ? Tu n'as pas le droit de te déplacer sans mon autorisation, tu le sais. Tourne toi ! Je me retourne et sens soudain la morsure du martinet . 1 coup, 2,... 10 se succèdent. Je comprends qu'ils alternent et commentent la couleur de mes fesses en riant. Quelques coups plus puissants terminent la leçon. Il me prend par la nuque et me force poser les mains sur la table basse. Dans cette position et avec la barre d'écartement aux chevilles, je dois avoir les fesses en l'air.
  • Il est temps que tu apprennes à être une petite chienne bien sage. Me dit il puis s'adressant à Elle : Ecarte lui les fesses. Elle s'exécute et je sens le froid de la noisette de lubrifiant sur mon anus suivi de près par ce que je reconnais comme le plug vibrant en inox. Ils jouent avec la tête de l'engin contre mon orifice pour l'introduire doucement dans mon cul. Lorsqu'il est entré, en tournant l'anneau, il déclenche la vibration dans mon tréfonds. Ils se reculent et commentent leur œuvre : je saisis quelques mots comme salope, pute ou encore chienne. Soudain, une traction sur la laisse me fait relever et retourner. Il me saisit par les testicules, presse légèrement et me dit "tu as bien compris la leçon ? Tu ne fais que ce que l'on te dit de faire!"
  • Oui, réponds-je. Ils retournent sur le lit et se déshabillent. Ma femme est survoltée. Il la caresse et lui mets 2 doigts dans la chatte. Elle se tortille sous la pénétration. Il tire sur la laisse et m'oblige à approcher : regarde comme elle mouille bien ma Maitresse. Il enfourne ses deux doigts dans ma bouche et je les nettoie de la mouille abondante de Elle. Ils se lèchent et se sucent puis se mettent en 69. Je bande en regardant la bouche de Elle coulisser sur la hampe de son amant. La langue de celui-ci s'insinue dans les replis de sa vulve luisante. Soudain, il s'extirpe de sous ma femme en lui demandant de ne pas bouger. Il tire sur la laisse et me force à me coucher à la même place. Il me retire mon bâillon et m'intime l'ordre de la lécher puis après avoir mis un préservatif il se positionne à l'entrée de son ventre et la pénètre d'un seul coup de rein. Elle pousse un râle de plaisir lâchant mon sexe qu'elle reprend ensuite avidement. Ses couilles pendantes frottent mon visage pendant que je regarde sa queue prendre possession du ventre de Elle. Je lape alternativement son clitoris et le sexe de son amant. Ma langue joue avec ses testicules qui battent la cadence. Elle jouit dans un long feulement. Il s'extrait alors de son sexe et après l'avoir lubrifiée et préparée avec un puis deux doigts il se présente à l'entrée de son cul. Je regarde avec fascination cette queue très raide et très épaisse entrer lentement dans ce que ma femme a de plus intime et qu'elle m'interdit. Elle s'ouvre progressivement et finit par livrer complètement l'accès à ses entrailles. Son anus est béant , son amant entre et sort de ce corps qui lui appartient maintenant entièrement. Il la fait rouler sur le dos pour la reprendre les jambes repliées en arrière, il l'embrasse en même temps lui disant que son cul est chaud , qu'elle est belle et qu'elle est à lui. Il me regarde et me dit :
  • Alors le mari cocu, ça te fait quoi de voir ta femme devenir ma chienne ? Tu as vu comme elle aime ma queue dans son cul, tu sais ce cul que tu n'as pas le droit de prendre... Quel dommage, il est onctueux, ouvert à souhait. Regarde comme je glisse bien au fond. Un jour je remplirai son ventre de ma semence et elle sera toute à moi. Il accélère ses mouvements, ses coups de rein deviennent violents, il la défonce littéralement et elle crie de plaisir. Soudain il se retire, arrache le préservatif et dans un grognement sauvage éjacule sur son ventre un sperme claire et abondant. Il s'écarte et Elle attrape la laisse qu'elle tire franchement, m'obligeant à approcher mon visage de la semence chaude qui l'orne.
  • "Allez mon cocu : nettoie tout ! Qu'il n'en reste pas une goutte". Je m'execute. Pendant ce temps il a repris le martinet et rougit de nouveau mes fesses de dizaines de coups en tirant sur la laisse m'obligeant à forcer pour rester à portée du sperme. Lorsque Elle est propre, elle me prends par le collier et m'approche de force vers le sexe de son amant :
  • Nettoie le aussi ! Je m'applique à lui nettoyer le sexe et les couilles en les entendant rire.
  • Elle suce bien la salope : elle a du être une femme dans une vie antérieure.
  • Probable ! Et encore tu ne l'as pas vu avec un gros gode dans le cul : une vraie chienne en chaleur. Je sens sa queue reprendre de la vigueur dans ma bouche. Lorsqu'il se considère bien nettoyé, il me repousse et me dit : Mets toi à genoux et écarte ton cul avec tes mais. Je m'execute et il demande à Elle d'insérer elle-même sa queue à nouveau bien raide dans mon cul offert. Je sens sa bite énorme me pénètrer les entrailles puis après quelques va et viens lents se mettre à me défoncer de toute sa longueur. Ses couilles battent les miennes. Pendant ce temps Elle a sorti le martinet et me fouette le dos et les fesses en me disant que je suis une sacré salope, que je me fais ouvrir le cul par une belle bite comme une chienne en chaleur. Je jouis en gémissant quand soudain je sens sa queue gonfler , il se propulse au fond de mes reins et je perçois la chaleur de son sperme déversé dans le préservatif. Il se retire, ôte la capote, me fais mettre à genoux l, la tête relevée et la bouche ouverte puis vide le contenu dans ma bouche. Bien entendu, je le nettoie de nouveau sur l'ordre de Elle.
  • Maintenant branle toi devant nous. On te regarde, dépêche toi . Malgré ma gêne et mes bracelets, je saisis ma queue et me branle debout face à eux jusqu'à ce que le plaisir monte de mes reins et que je jouisse dans mes mains. Bien entendu ils me forcent à avaler ma propre semence. Ils me délivrent alors et nous nous servons une coupe de Champagne.
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